Le 27 février dernier, j'étais au Casino de Paris pour assister au concert "5x5" des Simple Minds.
Une belle performance de 2h40 (avec entracte) reposant sur le concept de jouer 5 titres issus des 5 premiers albums du groupe. 

Ce concert s'adressait surtout aux fans hardcore qui suivent les Minds depuis leurs débuts new wave et pas mal de spectateurs, même s'ils connaissaient le principe qui leur a été rappelé en début de soirée, ont du être déçus de ne pas entendre quelques classiques et de rester dans des ambiances très early 80's, avec des influences Depeche Mode et Joy Division évidentes.

Pour ma part, je m'en suis accommodé et j'ai adoré réentendre voire découvrir pour la première fois "live" des "oldies" comme "I Travel" ou le "Theme for Great Cities". 

il faut quand même avouer que quelques titres ont mal vieilli et qu'il manquait dans la setlist des chansons géniales comme "All For You" et surtout "Seeing Out the Angel" de l'album Sons and Fascination. Et j'aurais viré "Glittering Prize" au profit de "Big Sleep". Une bonne soirée, malgré tout !

En guise d'illustration, voici l'un des morceaux phares de la soirée, "The American".

Suivi par l'un des hits du groupe "Someone, Somewhere in Summertime"

C'est "20 Minutes" qui l'annonce : le Ludus Institut va ouvrir en novembre 2012 à Strasbourg la première école « au monde » à dispenser une formation dans les technologies du "serious game", ces logiciels alliant pédagogie et amusement.

Baptisée Ludus Academie, elle proposera aussi des cours de conception et réalisation de jeux vidéo plus classiques. Les cursus iront du niveau bac à bac +5.

Le credo des fondateurs de l'école est de "répondre aux nouveaux défis des créateurs d'univers virtuels »; ils mettent en avant « qu'un tiers des studios ne trouve pas de professionnels au niveau suffisant pour la création de leurs jeux ».

Pour l'heure, on ne connait pas les tarifs des formations. L'école sera implantée 56, rue Jacques-Kablé à Strasbourg.

Selon une étude du cabinet Robert Half, un CV truffé de fautes coûte cher : 5% des recruteurs écarteraient une candidature dès la première faute d'orthographe et 35% à partir de 2 ou 3 fautes. D'où le recours pour certains à des coachs d'orthographe.

Source : Le Point

Je vous signale le lancement d'un nouveau site, Psychologiejeuxvideo, une initiative très intéressante que l'on doit à Rémi Abida, un psychologue passionné par tout ce qui concerne la psychologie autour des jeux vidéo.

Accéder au site

Puisque l'actualité floydienne est actuellement assez chaude, je vous signale la diffusion ce dimanche 13 novembre à 20h30 sur la chaîne Direct Star (accessible depuis la TNT, le câble, le satellite...) d'un documentaire de 52 min consacré à Pink Floyd (réalisé par l'antenne française de la BBC).

J'ai eu le plaisir de participer à cette émission aux côtés d'autres spécialistes et je suis curieux de voir le résultat !

Voir la présentation de l'émission

... mais simplement le niveau global de maîtrise du français, notamment par les étudiants.

Je réagis à l'article de Metro France qui semble vouloir dire que si l'on peut maltraiter la langue française, c'est parce que celle-ci est plus "normée" que les autres, plus rigide... Du grand n'importe quoi ! Vous irez dire ça aux Allemands, aux Chinois, aux Japonais, aux Arabes dont les langues sont également très sophistiquées.

Comme le dit à juste titre l'un des lecteurs l'ayant commenté, les intervenants cités dans cet article font tous l'apologie d'un certain fatalisme, affirmant que si la norme n'est pas suivie, elle est forcément dépassée. 

De plus, l'idée dans l'interview associée que les fautes d'orthographe empêchent rarement la compréhension me fait bien rire.

Je conseille à la linguiste interrogée d'aller se promener sur Facebook (une belle vitrine de l'expression française contemporaine) et elle pourra constater à quel point les échanges entre individus, notamment les jeunes générations, se nivellent par le bas : je pourrais "copier-coller" des pages entières de dialogues entre personnes s'exprimant tellement mal qu'elles sont obligées de  réécrire plusieurs fois leurs idées juste pour qu'on les comprenne !

Sans parler des "nouvelles" fautes d'orthographe qui laissent songeur : "je metterai", "ils croivent", " je demance à ce qu'on me dise...", j'en passe et des meilleures...

Peut-être que dans la vie quotidienne, on peut parvenir à se comprendre au minimum, mais dans le monde professionnel, les faiblesses d'expression peuvent être dramatiques : imaginez un contrat où certains termes au pluriel ont été laissés au singulier...

C'est plutôt inquiétant un monde où les gens parviennent de moins en moins à se comprendre par écrit,  vous ne trouvez pas ?

Après "Pink Floyd, magiciens, alchimistes et milliardaires", j'ai le plaisir de vous annoncer la sortie de ma nouvelle biographie rock : "Led Zeppelin, même les dragons ont une fin" aux éditions des Carnets de l'Info.

Monstre sacré du rock, Led Zeppelin a marqué l’histoire de la musique populaire de son empreinte de plomb. 

Jimmy Page, Robert Plant, John Bonham et John Paul Jones : quatre rock héros, quatre musiciens inventifs et fougueux qui ont accouché d’un nouveau genre musical, le hard rock, quatre artistes fusionnels qui ont incarné durant une douzaine d’années un Dragon de Feu crachant des riffs gorgés d’électricité sur une rythmique surpuissante...

Lire la suite de la présentation sur le blog officiel du livre : 
http://ledzeppelin.hautetfort.com/archive/2011/... 

N'hésitez pas à me contacter si ce sujet vous intéresse !