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led zeppelin

  • Au Salon du Livre de Paris 2013

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    Ce week-end au Salon du Livre de Paris, mes biographies sur Led Zeppelin et Pink Floyd étaient en bonne place sur le stand de Scrinéo. Lors de mon bref passage, alors qu'aucune signature n'était prévue, j'ai même eu le plaisir de dédicacer le "Led Zep" à un fan de passage.

  • Led Zeppelin, même les dragons ont une fin : sortie officielle

    book_98.jpgAprès "Pink Floyd, magiciens, alchimistes et milliardaires", j'ai le plaisir de vous annoncer la sortie de ma nouvelle biographie rock : "Led Zeppelin, même les dragons ont une fin" aux éditions des Carnets de l'Info.

    Monstre sacré du rock, Led Zeppelin a marqué l’histoire de la musique populaire de son empreinte de plomb. 

    Jimmy Page, Robert Plant, John Bonham et John Paul Jones : quatre rock héros, quatre musiciens inventifs et fougueux qui ont accouché d’un nouveau genre musical, le hard rock, quatre artistes fusionnels qui ont incarné durant une douzaine d’années un Dragon de Feu crachant des riffs gorgés d’électricité sur une rythmique surpuissante...

    Lire la suite de la présentation sur le blog officiel du livre : 
    http://ledzeppelin.hautetfort.com/archive/2011/... 

    N'hésitez pas à me contacter si ce sujet vous intéresse !

  • Robert Plant : le lion n'est pas mort ce soir

    Retour sur le très bon concert de Robert Plant au Palais des Sports de Paris, le 24 octobre dernier. Encore tout auréolé de son Grammy Award de l'album 2009 pour «Raising Sand» avec Alison Krauss, l'ex-chanteur de Led Zeppelin revient avec un nouvel album de reprises intitulé «Band of Joy» qui traduit sa passion demeurée intacte pour le blues-rock.

    En guise d'apéritif, une première partie de qualité, incarnée par le guitariste de blues-rock britannique Justin Adams et le joueur de cordes gambien Juldeh Camara, nous propose un petit détour par l'Afrique avec les tonalités mêlées de la six-cordes électrique, du violon riti et du luth kologo, des instruments simplissimes aux sonorités très subtiles.
    Par moments, cette musique m'a fait penser à Tinariwen, un groupe touareg du Mali dont je vous recommande vivement l'écoute.

    Le chanteur à la crinière flamboyante monte ensuite sur scène, accompagné de son petit groupe, pour une performance d'1h40 envoûtante. Les années sont passées, la silhouette s'est un peu voûtée, mais la voix est toujours là, même si l'on se doute qu'il ne la forcera pas comme au bon vieux temps du Zep. Mais les titres choisis ce soir ne s'y prêtent pas non plus.

    La setlist est composée pour l'essentiel de chansons du dernier album mais viennent s'intercaler ici et là quelques titres zeppeliniens qui déclenchent des cris d'allégresse dans le public ("Misty Mountain Hop" survoltée sur laquelle le public, très sage jusqu'alors, vient s'agglutiner devant la scène, "Tangerine", "Houses of Holy").

    Les attitudes de "lead singer" sont encore là également. Plant empoigne son micro, l'agite dans tous les sens, prend des poses tout en adressant des petits sourires aux filles des premiers rangs. Ou comment se mettre tout le monde dans la poche...

    Les morceaux de l'album passent très bien le cap du "live" notamment "Angel Dance", une reprise réussie des Los Lobos (voir clip officiel ci-dessous), "Monkey" ou "Satan, Your Kingdom Must Come Down". Avant de quitter le public sous le charme, Robert Plant et sa petite troupe nous gratifie d'un formidable "Gallows Pole" semi-acoustique qui révèle toute la saveur de ce titre immémorial.

    Les rappels ("Harm's Swift Way", "Rock n'Roll" dans une version inédite et And We Bid You Goodnight") concluent en beauté ce concert vraiment très réussi. Du rock pur, sans fioritures, aux accents "seventies" et teinté d'une évidente joie de le partager avec son public.