Les mash-ups sont actuellement à la mode. Comme celui où Enrico Macias nous "interprète" Highway To Hell d'AC/DC... C'est désopilant et bien vu !
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Les mash-ups sont actuellement à la mode. Comme celui où Enrico Macias nous "interprète" Highway To Hell d'AC/DC... C'est désopilant et bien vu !
C'est amusant et rassurant de voir que même l'un des plus grands communicants au monde a connu des moments pénibles à ses débuts.
Dans ce document rare, tourné semble-t-il en 1978, on découvre un Steve Jobs jeune (à cette date, il a 23 ans et il a fondé Apple deux ans plus tôt) et très nerveux avant sa première apparition télévisée.
Ce n'est même pas sur une chaîne nationale mais sur KGO TV, une petite chaîne locale d'ABC. La veste marron et le look du boss d'Apple ne sont pas tip-top et surtout l'inventeur du Mac a l'air très tendu.
"Regardez, je passe à la télé", s'exclame Steve Jobs en se découvrant sur un moniteur. Puis, la tension monte : " Il faut me dire où sont les toilettes parce que je risque d'avoir envie de vomir à n'importe quel moment. Je ne rigole pas".
Des gars futés, minutieux et très patients se sont amusés à reconstituer avec des Playmobils la performance de Joy Division au show de la BBC "Something Else" en 1979 : c'est bluffant !
Visionner le clip animé ainsi que la vidéo originale de "Transmission"
Que les fautes prolifèrent dans les médias, c'est un fait. Cela touche même la presse écrite dont on imagine pourtant que le contenu est supervisé par des secrétaires de rédaction, des rédacteurs en chef, des correcteurs... ou pas?
Voyez la partie inférieure gauche de la couverture du Stratégies du 13 janvier dernier. Wow !
Merci à Gabriella pour m'avoir signalé cette bourde.
Charlie Gilmour, 21 ans, fils de David Gilmour (ex-guitariste de Pink Floyd) et étudiant en histoire à l'université de Cambridge, aurait fait partie du groupe de casseurs qui ont attaqué la voiture du prince Charles et de Camilla. Il aurait déversé une poubelle sur la voiture officielle et se serait assis sur le capot.
Le jeune Gilmour est devenu malgré lui le symbole des dérapages des récentes manifestations étudiantes en Grande-Bretagne en portant atteinte au drapeau britannique : il s'est en effet suspendu au Cénotaphe, le principal monument aux morts du Royaume-Uni, situé près du Parlement.
La presse avait publié la photo du jeune homme pendu au monument. Le lendemain, Charlie Gilmour s'était excusé pour cette "terrible insulte" reconnaissant "avoir été pris par le moment".
C'est Papa, Commandeur de l'Ordre de l'Empire Britannique (CBE) qui doit être fier de son rejeton... En attendant, celui-ci sera convoqué prochainement devant la justice.
Photos : l'exploit (hum...) du gamin et la famille Gilmour au grand complet au moment de la réception de la décoration - Charlie était plus jeune à cette époque.
Triste nouvelle pour les amoureux de la six-cordes : le guitariste irlandais Gary Moore est décédé le 6 février 2011 à Estepona en Espagne. Ancien membre du groupe de hard rock Thin Lizzy, il était âgé de 58 ans. Le manager de Thin Lizzy, Adam Parson, a précisé à la BBC que le corps sans vie de Moore avait été découvert dans sa chambre d’hôtel alors qu’il était en vacances sur la Costa del Sol. La cause du décès reste pour l’instant inconnue…
Né à Belfast en Irlande du Nord le 4 avril 1952, Gary Moore avait débuté au sein des groupes Skid Row puis Colosseum avant de rejoindre Thin Lizzy en 1973, une formation majeure du hard rock britannique emmenée par son charismatique chanteur-bassiste Phil Lynott.
Celui-ci est d'ailleurs l'auteur de "Parisienne Walkways", le plus grand succès commercial de Gary Moore avec "Still Got The Blues" en 1990, deux temps forts d'une carrière solo lancée après l'album "Black Rose" de Thin Lizzy.
Grand gourou de la guitare hard, Gary Moore s'était mué progressivement en pyrotechnicien blues avec des compositions aux mélodies profondes. Une période durant laquelle il n’hésite pas à épauler des confrères aussi divers que George Harrison, Ozzy Osbourne, Albert Collins ou les Beach Boys !
Bien entendu, il est vivement recommandé d'écouter ses albums "live".
Je vous présente deux vidéos à titre d'hommage, un enregistrement rare de "Parisienne Walkways" avec Phil Lynott lui-même (décédé en 1986) puis une très belle version de "Still Got the Blues".
Depuis quelques temps, les recruteurs s'insurgeaient contre la recrudescence des fautes d'orthographe dans les candidatures reçues, notamment celles des surdiplômés. Il semblerait, si l'on lit cet article, que "la faute ne soit plus un vilain défaut" !
Outre le fait que cet article fait encore porter toute la responsabilité sur les nouvelles technologies (l'enseignement n'est jamais évoqué, comme c'est étrange...), on ne peut que se "réjouir" de cette nouvelle indulgence qui va permettre d'inonder les entreprises de gens ne sachant pas écrire deux lignes sans faire une faute.
Ce n'est pas grave, après tout... jusqu'au premier devis refusé ou premier contrat foiré parce que rédigé dans une langue incompréhensible.
Premier signe d'abandon du côté du recrutement ? Forme de désinvolture entretenue par les jeunes générations de recruteurs qui ont été formées dans le même moule que les candidats qu'elles sélectionnent ? Quoi qu'il en soit, c'est en complet décalage avec le climat actuel des entreprises où les fautes à répétition sont de plus en plus mal perçues aussi bien à l'écrit que dans les présentations orales.
D'après la même étude citée dans l'article, en France, seules 18% des entreprises affirment que l'orthographe n'a aucune importance pour elles, ce qui me semble plutôt encourageant. Tout dépend en fait du genre de candidats qu'elles recherchent. Ainsi, le CV bourré de fautes d'une secrétaire sera plus sûrement écarté que celui d'un garagiste.