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  • Los Angeles, le point de vue de l'ange

    Dans cette vidéo en accéléré, l'atterrissage à l'aéroport international de Los Angeles (LAX) au crépuscule. Une petite visite touristique aérienne, c'est très beau !

    PS/ Musique : "Los Angeles" de Supercult. 

  • Pas de lien entre jeu vidéo et obésité

    Quoi qu'en pensent certaines associations de parents ou groupes de prévention, obésité et jeux vidéo n'entretiennent pas de liens étroits

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    Des chercheurs de l'Université d'Etat du Michigan ont sélectionné un panel de 482 élèves de 12 ans, qu'ils ont suivi pendant trois ans. Les enfants et leurs parents ont, au cours de l'étude, répondu à six sondages successifs, pour définir leur consommation d'internet, jeux vidéo et téléphone portable.

    En parallèle, les parents devaient fournir les résultats scolaires des enfants, ainsi qu'un rapide bilan physique de taille et de poids. D'autres informations, comme le statut économique et social de la famille, ainsi que son ethnie. Pendant ce temps, les enfants passaient régulièrement des tests de lecture et mathématiques, mais aussi des tests visuospatiaux psychologiques pour évaluer où chaque sujet se situe par rapport à son amour-propre.

    L'étude, au final, a observé que, bien que les jeux vidéo accaparaient plus de temps que l'usage d'Internet ou du téléphone portable, aucune de ces activités n'étaient un facteur corroborant une conséquence sur le poids et l'Indice de Masse Corporelle d'un enfant. Les résultats ont en revanche établi que l'âge, le statut social et économique ansi que le goupe ethnique auquel il appartenaient étaient des facteurs convergents.

    Les chercheurs ont néanmoins noté que les enfants qui employaient Internet plus souvent réussissaient mieux les tests de lecture, et que ceux qui jouaient plus longtemps passaient plus facilement les tests visuo-spatiaux. Toutefois, cela se faisait au détriment des notes, ou d'un certain amour propre. 

    Bref, ce n'est pas le temps passé devant un écran qui rend les enfants plus gras, c'est leur milieu, leur prédisposition génétique, et leur âge qui conditionnaient cette obésité, elle-même découlant d'une nutrition dysfonctionnelle façonnée par les facteurs énoncés.

    Source : Fluctuat.net 

  • Dire Straits censuré au Canada

    Une affaire hallucinante dont vous avez sans doute entendu parler... Plus de 20 ans après sa sortie, la chanson "Money for Nothing" du groupe de rock britannique Dire Straits devrait être censurée par le Conseil canadien des normes de la radiotélévision (CCNR) pour «violation du code de déontologie».   

    Cette décision grotesque fait suite à une plainte d'une auditrice de la station FM OZ à Terre-Neuve après la diffusion du célèbre tube en février 2010 (Ne pouvait-elle pas juste éteindre son poste ?)

    Le 13 janvier, le Conseil a rendu sa décision en indiquant que "Money for Nothing" ne devait plus être diffusée dans sa version originale sur les ondes canadiennes en raison de l’usage répété à trois reprises du mot « faggot » (qui est l'équivalent du mot français « tapette »).

    Le CCNR s'est quand même fendu d'un rapport de 13 pages pour affirmer que les prix et hommages rendus à cette chanson au milieu des années 1980 « ne la protègent pas ». Selon le Conseil, "il y a eu une réorientation des valeurs sociales en jeu un quart de siècle plus tard, et sa radiodiffusion en 2010 doit refléter ces valeurs-là plutôt que celles de 1985 ». 
    Incroyable ! L'ordre moral dans toute sa grandeur...

    Il faut savoir que la chanson qui a donné son statut international à Dire Straits raconte les pensées d’un livreur de cuisine, déplorant de n'avoir jamais appris à jouer d’un instrument et ne pouvoir devenir une star du rock sur MTV, pour échapper à sa vie de tous les jours. Les propos crus du livreur sur les femmes et les musiciens ont déjà valu à la chanson d'être accusée de sexisme, racisme et homophobie.

    C'est vite oublier qu'il s'agit d'une oeuvre musicale de fiction. Ce n'est pas le groupe qui s'exprime, mais le personnage qu'il a créé dans la chanson. Les Canadiens n'ont même pas su faire la différence ! S'il fallait censurer tous les morceaux qui comportent un mot offensant, c'est 80% de la production pop-rock qui devrait être bannie des ondes !

    Pour s'associer à la radio canadienne K-97 qui, pour "aller à contre-courant"» a diffusé en continu et durant une heure "Money for Nothing" le 14 janvier dernier, je vous propose la sublime version de Wembley de 1992, lors du Prince's Trust Concert, où Mark Knopfler et ses potes s'associent aux artistes de renom présents sur scène.

    Si cette chanson était injurieuse, pensez-vous qu'on trouverait pour la chanter ce jour-là des stars comme Sting (fabuleux), Eric Clapton (le guitariste en chemise orange à droite de la scène), Elton John (piano) et Phil Collins (batterie) ?

    Source : Slate.fr

  • Champagne suédois

    Parce qu'il est bon de rire pour bien commencer la semaine et que dans le genre, le chef "suédois" du Muppet Show reste un must, je vous dis "Santé !"

  • Gerry Rafferty s'est perdu dans Baker Street

    Le chanteur britannique pop-rock Gerry Rafferty vient de s'éteindre à l'âge de 63 ans d'une longue maladie du foie. Bien qu'il ait publié plusieurs albums, l'homme restera associé principalement à deux titres, "Stuck In The Middle With You" en 1972 et surtout le hit planétaire "Baker Street" (1978) qui lui assura de coquettes rentrées d'argent des décennies durant, longtemps après que le succès l'eut quitté.

    Le célèbre solo de saxophone du morceau, enregistré ppar Raphaël Ravenscroft, était prévu à l'origine pour une guitare. Mais le guitariste ne s'étant pas montré au studio, Ravenscroft l'avait remplacé avec son saxophone. Comment le hasard décide du destin d'un single... Baker Street comporte quand même un solo de guitare à la fin, suivi par une dernière reprise du thème au saxo.

    A titre personnel, j'associerai toujours ce titre mythique au transport en bus en classe de 5ème qui m'emmenait le mercredi à la piscine  :-) Le chauffeur avait la bonne idée de brancher la radio où l'on pouvait entendre Rafferty, mais aussi "Sultans of Swing", une chanson très prometteuse d'un jeune groupe inconnu, Dire Straits...

  • Addiction aux jeux vidéo : un phénomène marginal

    Selon le Figaro, "les spécialistes préfèrent parler de «jeu excessif» ou d'«usage abusif» plutôt que de dépendance. Seuls les jeux en ligne recréant de véritables univers parallèles peuvent mener à des comportements pathologiques, en particulier chez les jeunes".

    Lire l'article complet du Figaro 

    Tiens, le Figaro changerait-il d'opinion sur les jeux vidéo ? Car ce dernier article, plus mesuré et plus juste, tranche avec ce que l'on pouvait lire voici encore quelques mois, beaucoup plus alarmiste. 

    Un autre article du Figaro, en mars 2010

    Mon opinion reste inchangée : la "passion excessive" pour les jeux vidéo est un phénomène à la marge, qui ne concerne qu'une toute petite minorité de joueurs (mais dont il faut s'occuper car ils sont en souffrance).
    De manière générale, les parents devraient davantage se responsabiliser sur la pratique des loisirs numériques par leurs chers rejetons.

  • Soi-disant ou soit-disant ?

    01_051026_Main_clavier_02.jpgGrande question : comment écrire ces deux mots si courants ? 

    En fait, l'erreur la plus fréquente est de considérer que « soi » provient du verbe être. La tentation est alors d’écrire : "soit disant" ou "soit-disant".

    Or, soi-disant veut dire « se disant à soi-même » donc n'a aucun rapport avec le verbe être. Donc il faut écrire soi-disant. Car, et c'est un autre point important, il y a bien un trait d'union entre "soi" et "disant".

    Enfin, "soi-disant" est invariable. Il ne s’accorde jamais en genre et en nombre. Par exemple : on ne dit pas cette soi-disante amie, mais cette soi-disant amie.