La plateforme game-addict.org s'intéresse de près à la relation entre jeux vidéos et addiction. « Notre plateforme virtuelle vise à informer les parents, les joueurs, les médecins sur ce qu’est l’addiction aux jeux », explique Bastien Cardin, président de l'association des joueurs anonymes.
Au lexique sur les termes du vocabulaire des jeux, s’ajoutent ainsi un forum, des articles de presse, des reportages télé sur la thématique, un annuaire des contacts utiles…
« Notre plateforme est complètement ouverte et ne vise à juger personne. Elle s’est créée autour du constat qu’il n’en existait aucune en France », poursuit le président.
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Une plateforme sur l'addiction aux jeux vidéo
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"Pas d'addiction aux jeux vidéo"
C'est ce qu'affirme le psychanalyste (et joueur) Yann Leroux, membre de l'observatoire des mondes numériques en sciences humaines, dans une longue interview au journal Le Monde, en date du 27 mars 2009. Je vous invite à la lire en cliquant sur ce lien.
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Les jeux vidéo améliorent les capacités de visualisation en 3D
Si elle fait parfois chuter les résultats des étudiants, la pratique fréquente de jeux vidéo les rend davantage performants dans certains domaines, comme la perception en 3D.
Lire l'article complet sur le site de l'Atelier -
Pas de message sanitaire pour les jeux vidéo
Le Syndicat National du Jeu Vidéo (SNJV) se félicite du retrait de l’amendement qui prévoyait l’apposition d’un message à caractère sanitaire pour les jeux vidéo. Déposé il y a un mois dans le cadre du projet de loi portant réforme de l’hôpital, l’amendement 183 a finalement été retiré, à la demande de la Ministre de la Santé, ce dont le SNJV se félicite.
Contesté par les professionnels réunis au sein du Syndicat National du Jeu Vidéo, cet amendement avait suscité de vives réactions en raison des contre-vérités sur lesquelles il se fondait. Le SNJV avait notamment envoyé une lettre ouverte à Madame Roselyne Bachelot dans laquelle le syndicat rappelait qu’aucune étude scientifique ne permettait de faire un lien entre le jeu vidéo et l’addiction.
Dans sa lettre datée du 18 février, le SNJV appelait la Ministre de la santé à engager rapidement une réflexion de fond sur le jeu vidéo et la santé, en concertation avec les associations de parents, les professionnels de la santé ainsi que les professionnels du jeu vidéo.Source : Agence Française du Jeu Vidéo
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Apprendre en jouant, est-ce possible ?
C'est l'objet du rapport d'enquête universitaire auquel a participé Jihène Matoussi en 2008. A l'évidence, le serious game continue d'acquérir ses lettres de noblesse et ouvre de nouvelles perspectives à la formation en entreprise.
Je vous conseille la lecture de ce document que vous pouvez télécharger sur le blog de Jihène. -
Une nouvelle maladie des jeux vidéo ?
Décidément, les jeux vidéo sont de plus en plus présents dans la presse généraliste, mais c'est rarement pour en vanter les vertus. Cette fois-ci, on aurait découvert une nouvelle maladie liée aux jeux vidéo. C'est le très sérieux Le Monde qui rapporte ce fait divers...
Une fillette victime d'une nouvelle maladie liée aux jeux vidéoLes médecins suisses ont prescrit à une fillette de 12 ans un arrêt total de jeu vidéo durant une dizaine de jours pour venir à bout d'une inflammation de la peau des mains causée par l'utilisation excessive d'une manette de jeu.
La nouvelle affection a été baptisée "Palmare PlayStation Hidradenitis" et a été décrite dans le magazine spécialisé British Journal of Dermatology par le professeur Vincent Piguet, des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). L'adolescente présentait des lésions douloureuses sur la paume des mains depuis quatre semaines. "Il s'agissait de gros nodules rouges très spectaculaires", a expliqué le Pr Piguet à l'agence de presse suisse ATS.
Il a fallu mener une enquête approfondie pour découvrir l'origine de la maladie : la fillette cachait en effet à ses parents qu'elle jouait pendant des heures avec sa console de jeu. Le Pr Piguet et son équipe sont arrivés à la conclusion que la crispation des mains sur la manette et l'appui frénétique sur les touches ont provoqué de minuscules blessures cutanées. Celles-ci ont pu s'aggraver avec la transpiration. La fillette s'est vu imposer dix jours d'abstinence de PlayStation et les lésions ont disparu spontanément. Ce cas est le seul répertorié à ce jour.Source : Le Monde, AFP.
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Dépendance aux jeux vidéo dans le Figaro
On me signale un article dans le Figaro de ce jour, intitulé "Dépendance aux jeux vidéo : la nouvelle crise d'adolescence".