Il y a quelques jours, j'ai tenté de me connecter à ma boîte mail et, mon provider effectuant des "migrations" de compte à compte, l'accès était particulièrement lent.
D'où le bref affichage d'un message d'alerte qui m'a laissé perplexe. J'ai eu le temps de faire une capture d'écran pour pouvoir l'étudier de près.
D'abord une belle faute d'orthographe à la fin : le mot correct est "occasionnée". Ensuite, une syntaxe très étrange, comme si le texte était issu d'un traducteur automatique... avec, en outre, l'usage du mot "exécution", fréquent dans le monde informatique, mais déplacé dans un discours grand public.
J'aurais écrit quelque chose comme "Afin de garantir le meilleur service à l'ensemble de nos clients, l'affichage de la page demandée a été interrompu", puis "Nous vous demandons de ..."
Ceci dit, la jeune femme à droite est plaisante à regarder :-)
oullion - Page 14
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Les étranges messages de SFR
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White Lies : le retour de Joy Division
Je vous parlais récemment d'Archive, les fils spirituels de Pink Floyd. Cette semaine, c'est au tour des White Lies que j'irai voir à l'Elysées-Montmartre (Paris) le 28 octobre.
Un jeune groupe britannique qui donne dans la cold-wave torturée mais inspirée, et dont la filiation avec Joy Division est évidente dès la première écoute. Pour l'heure, ils n'ont sorti qu'un seul album dont la pochette, noire et blanche, est à l'image de leur musique : sombre et post-industrielle, avec des allusions récurrentes à la mort (à l'amour aussi, mais les deux thèmes sont entrelacés, ah Eros et Thanatos !).
Pour vous faire une idée, je vous propose trois extraits live qui vous permettront d'admirer les qualités vocales du chanteur Harry McVeigh.
Complément du 29/10 : sur scène, White Lies est aussi convaincant que sur album. Excellente prestation hier soir à l'Elysées-Montmartre devant une salle copieusement garnie. Un set assez court mais diablement efficace. Définitivement un groupe au potentiel énorme. On attend le deuxième album avec impatience ! -
L'inventeur du Web aurait un grand regret
Sir Tim Berners-Lee, l'inventeur du Web, anobli par la Reine d'Angleterre en 2004, n'hésite pas à donner son avis d'expert sur ce qui a trait à son invention. Récemment, cet ex-pensionnaire du CERN s'est ainsi inquiété de la diminution de la liberté sur Internet et des conséquences néfastes que cela pourrait avoir.
Directeur du W3C, Berners-Lee, qui travaille depuis de nombreuses années au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a reconnu avoir un grand regret dans sa vie. Le New York Times a publié la vidéo de son interview dans laquelle il explique que si c'était à refaire, il se débarrasserait du double slash, le «//» qui suit «http:» dans les adresses Internet
Selon Berners-Lee, « quand on y pense, on n’a pas besoin de ce «slash slash », j’aurais pu écrire les URL de façon à ce qu’il n’y en ait pas. Vous vous rendez compte, maintenant à la radio on l’appelle même «backslash backslash»... Imaginez le nombre de fois que les gens doivent utiliser ce doigt tous les jours, imaginez combien d’encre et de papier on aurait pu sauver si j’avais enlevé le double slash... Mais voilà, à l’époque ça semblait une bonne idée. »
Franchement, Tim, même si c'est un peu pénible de taper des slashs, on te pardonne :-)
Source : NY Times, Libération
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Archive, les héritiers de Pink Floyd
C'est désormais un cliché de journaliste, mais de tous les groupes rock actuellement en activité, Archive est bel et bien celui qui reprend le mieux le flambeau laissé par Pink Floyd. Avec bien sûr des incursions dans des domaines ignorés de leur légendaire prédécesseur comme le trip-hop, par exemple. Leur dernier album "Controlling Crowds" vaut largement le détour. Le groupe britannique sera en concert le 10 octobre au Zénith de Paris, à ne pas manquer !
Trois prestations remarquées : "Bullets" et "Words on Signs" dans l'émission de Manu Katche sur Arte, "Sane" aux Eurockéennes de Belfort.
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Le secret de la réplique de De Niro
Une révélation incroyable dans l'Express en date du 10 septembre 2009 : "You talkin' to me ?", l'une des répliques cultes les plus célèbres du cinéma lancée par Robert De Niro dans Taxi Driver (1976) de Martin Scorsese n'a pas été improvisée par l'acteur, comme on le croyait, mais bel et bien empruntée à Bruce Springsteen.
Lors d'un concert, De Niro avait entendu le Boss dire à son public, qui l'acclamait: "Are you talking to me ?". Et il avait intégré la phrase dans le monologue devenu culte. L'acteur a fait promettre à Clarence Clemons, le saxophoniste du E-Street Band, avec lequel il a joué dans New York, New York (1977), de garder le secret pendant vingt-cinq ans.
Celui-ci vient de lâcher le morceau, trente-deux ans plus tard, dans la biographie de Don Reo intitulée "Big man, de la vraie vie à la vraie légende", à paraître fin octobre aux éditions Autour du livre. -
Rentrée ratée pour Luc Chatel
On avait la règle de trois de Darcos, les fautes de syntaxe de Sarko, voici l'orthographe défaillante du ministère de l'Education. Sur le site de l'Express, en date du 1er septembre, "zéro pointé pour le ministre de l'Education nationale... Dans le dossier de presse du ministère, se sont glissées de multiples fautes d'orthographe. LEXPRESS.fr fait le prof."
Lire l'article complet sur l'Express.fr ; Le Point relaie également l'information.
C'est édifiant : pas de relecture, pas de validation... et surtout des fautes vraiment impardonnables... à la limite, pourquoi pas un communiqué en langage Texto ? -
Les SMS perturberaient les cerveaux enfantins
Selon une étude australienne, les enfants feraient plus de fautes à cause des textos "intuitifs" qui perturberaient le fonctionnement de leur cerveau. On sait que les téléphones portables actuels sont munis d'un dictionnaire capable de déduire quel mot l'utilisateur veut employer grâce à quelques pressions sur les touches. Chaque touche représente trois lettres. Cela diffère de l'ancien système qui voulait que l'utilisateur appuie plusieurs fois sur chaque touche pour obtenir une lettre.
Or, ce système intuitif mènerait à des incompréhensions car plusieurs mots utilisent les mêmes touches. Le Pr. Michael Abramson, à l'origine de la recherche, a comparé l'utilisation des téléphones portables chez des enfants âgés de 11 à 14 ans avec les résultats de tests semblables aux tests de QI réalisés par ces mêmes enfants sur ordinateurs. "Les enfants qui utilisent beaucoup leur portable étaient plus rapides sur certains tests mais moins efficaces. Nous suspectons que l'utilisation intensive du téléphone portable, en particulier du dictionnaire intuitif, est à l'origine de ces erreurs."
De précédentes recherches avaient montré que les SMS intuitifs rendaient les utilisateurs moins attentifs à l'orthographe, certains rencontrant de véritables difficultés pour écrire des mots longs du quotidien.
Source : Zigonet.fr