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Internet, rock et culture générale - Page 23

  • Les 40 ans de Sesame Street sur Google

    1245454067-internet-rue-sesame-l-honneur-sur-google.jpgCette semaine, le moteur de recherche Google a décidé de célébrer le quarantième anniversaire de l'émission culte Sesame Street (1 rue Sésame dans la version française).

    google_1516831c.jpgAussi a-t-on pu voir, au niveau du logo de la page d'accueil du site, plusieurs personnages du programme télévisé qui ont enchanté notre jeunesse. Ernie (Ernest), Bart (Bart) ou Cookie Monster (Macaron) sont apparus tour à tour, de même que tous les autres personnages, du vampire Count von Count à Grover en passant par l'oiseau Big Bird (Toccata). Chouette et nostalgique !

  • Des cours d'orthographe à la fac d'Angers

    Afin d'élever le niveau de ses élèves en orthographe, l'université de la ville d'Angers propose des cours permettant de revoir l'ensemble des fondamentaux. Un test est ainsi proposé aux nouveaux entrants de la faculté de lettres et plus de 50 % d'entre eux sont redirigés vers des ateliers de grammaire et de conjugaison.

    L'épreuve réalisée en septembre consistait à évaluer les élèves sur trois critères : la rédaction, l'orthographe et la grammaire. A l'issue de cet examen, une, deux ou trois heures d'ateliers ont été imposées aux élèves souffrant de lacunes dans l'une ou l'autre des catégories testées.
    Pour une élève de 18 ans, cette initiative permet de "réactiver des notions qu'on a déjà mais qu'on avait oubliées". Et une professeure d'ajouter qu'à quelques mois de l'entrée des élèves sur le monde du travail, "une candidature avec des fautes d'orthographe constitue un gros handicap".

    Source : AFP, Paris.
  • Les étranges messages de SFR

    Faute sur page SFR.JPGIl y a quelques jours, j'ai tenté de me connecter à ma boîte mail et, mon provider effectuant des "migrations" de compte à compte, l'accès était particulièrement lent.
    D'où le bref affichage d'un message d'alerte qui m'a laissé perplexe. J'ai eu le temps de faire une capture d'écran pour pouvoir l'étudier de près.

    D'abord une belle faute d'orthographe à la fin : le mot correct est "occasionnée". Ensuite, une syntaxe très étrange, comme si le texte était issu d'un traducteur automatique... avec, en outre, l'usage du mot "exécution", fréquent dans le monde informatique, mais déplacé dans un discours grand public. 

    J'aurais écrit quelque chose comme "Afin de garantir le meilleur service à l'ensemble de nos clients, l'affichage de la page demandée a été interrompu", puis "Nous vous demandons de ..."

    Ceci dit, la jeune femme à droite est plaisante à regarder :-)

  • White Lies : le retour de Joy Division

    0d78180f72.jpgJe vous parlais récemment d'Archive, les fils spirituels de Pink Floyd. Cette semaine, c'est au tour des White Lies que j'irai voir à l'Elysées-Montmartre (Paris) le 28 octobre.

    Un jeune groupe britannique qui donne dans la cold-wave torturée mais inspirée, et dont la filiation avec Joy Division est évidente dès la première écoute. Pour l'heure, ils n'ont sorti qu'un seul album dont la pochette, noire et blanche, est à l'image de leur musique : sombre et post-industrielle, avec des allusions récurrentes à la mort (à l'amour aussi, mais les deux thèmes sont entrelacés, ah Eros et Thanatos !).

    Pour vous faire une idée, je vous propose trois extraits live qui vous permettront d'admirer les qualités vocales du chanteur Harry McVeigh.

    Complément du 29/10 : sur scène, White Lies est aussi convaincant que sur album. Excellente prestation hier soir à l'Elysées-Montmartre devant une salle copieusement garnie. Un set assez court mais diablement efficace. Définitivement un groupe au potentiel énorme. On attend le deuxième album avec impatience !

     

  • L'inventeur du Web aurait un grand regret

    tim_berners-lee.jpgSir Tim Berners-Lee, l'inventeur du Web, anobli par la Reine d'Angleterre en 2004, n'hésite pas à donner son avis d'expert sur ce qui a trait à son invention. Récemment, cet ex-pensionnaire du CERN s'est ainsi inquiété de la diminution de la liberté sur Internet et des conséquences néfastes que cela pourrait avoir.

    Directeur du W3C, Berners-Lee, qui travaille depuis de nombreuses années au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a reconnu avoir un grand regret dans sa vie. Le New York Times a publié la vidéo de son interview dans laquelle il explique que si c'était à refaire, il se débarrasserait du double slash, le «//» qui suit «http:» dans les adresses Internet

    Selon Berners-Lee, « quand on y pense, on n’a pas besoin de ce «slash slash », j’aurais pu écrire les URL de façon à ce qu’il n’y en ait pas. Vous vous rendez compte, maintenant à la radio on l’appelle même «backslash backslash»... Imaginez le nombre de fois que les gens doivent utiliser ce doigt tous les jours, imaginez combien d’encre et de papier on aurait pu sauver si j’avais enlevé le double slash... Mais voilà, à l’époque ça semblait une bonne idée. »

    Franchement, Tim, même si c'est un peu pénible de taper des slashs, on te pardonne :-)

    Source : NY Times, Libération

  • Archive, les héritiers de Pink Floyd

    C'est désormais un cliché de journaliste, mais de tous les groupes rock actuellement en activité, Archive est bel et bien celui qui reprend le mieux le flambeau laissé par Pink Floyd. Avec bien sûr des incursions dans des domaines ignorés de leur légendaire prédécesseur comme le trip-hop, par exemple. Leur dernier album "Controlling Crowds" vaut largement le détour. Le groupe britannique sera en concert le 10 octobre au Zénith de Paris, à ne pas manquer !

    Trois prestations remarquées : "Bullets" et "Words on Signs" dans l'émission de Manu Katche sur Arte, "Sane" aux Eurockéennes de Belfort.

  • Le secret de la réplique de De Niro

    Une révélation incroyable dans l'Express en date du 10 septembre 2009 : "You talkin' to me ?", l'une des répliques cultes les plus célèbres du cinéma lancée par Robert De Niro dans Taxi Driver (1976) de Martin Scorsese n'a pas été improvisée par l'acteur, comme on le croyait, mais bel et bien empruntée à Bruce Springsteen.

    Lors d'un concert, De Niro avait entendu le Boss dire à son public, qui l'acclamait: "Are you talking to me ?". Et il avait intégré la phrase dans le monologue devenu culte. L'acteur a fait promettre à Clarence Clemons, le saxophoniste du E-Street Band, avec lequel il a joué dans New York, New York (1977), de garder le secret pendant vingt-cinq ans.

    Celui-ci vient de lâcher le morceau, trente-deux ans plus tard, dans la biographie de Don Reo intitulée "Big man, de la vraie vie à la vraie légende", à paraître fin octobre aux éditions Autour du livre.